Zaka, c'est le commencement, comme la première petite cellule de notre corps.
Un quatuor indocile pour éveiller les esprits pas trop sages.
Six voix, mille vibrations... et tout un monde qui résonne autour de vous.
Et si les fantômes avaient gardé leur âme d'enfant ?
Un solo acrobatique et hypnotique, entre poésie du geste et vertige des boucles.
Où l'on se souviendra en chœur et en noir et blanc que personne ne naît raciste.